[EVENT 1] arrivée sur l'îleDum Spiro, Spero :: L'évent de l'été :: Les posts évent :: Les évents communs
Elpis
event de l'été
Le mois n'avait pas encore commencé que vous aviez tous reçu dans votre boîte à lettres une invitation officielle. Quelques mots dorés sur un papier noir, accompagnés d'un ticket de bateau, un aller-retour pour ce qui, selon internet, avait tout l'air d'être une île paradisiaque.
Félicitations ! Tu as gagné un voyage d'un mois sur l'île, tous frais payés. Les choses ont été arrangées avec ton employeur, tu peux donc commencer à faire tes valises, le bateau quittera le port le premier juin. Amuse-toi bien.
Comme n'importe qui, vous avez sauté sur l'occasion. C'est vrai que ces derniers mois étaient particulièrement éprouvants, et vous avez bien mérité quelques semaines de vacances. En plus, vous avez vérifié, et ce n'est pas une arnaque. Certains disent même que vous n'êtes pas les premiers, qu'il y a quelques années, une bonne vingtaine au moins, d'autres avaient gagné la même chose. Un bienfaiteur anonyme ? Impossible d'avoir des retours sur leur expérience pourtant, mais tout le monde devait bien être revenu entier, et c'est tout ce qui compte quand c'est gratuit, n'est ce pas ? En plus, vous croisez des visages familiers sur le bateau, vous buvez quelques verres, vous profitez de la vue et du soleil. Tout se passe pour le mieux. Les vacances commencent enfin.
Le voyage n'a pris que quelques heures, et déjà, vous jetez l'ancre au port de l'île. La vision devant vous sort tout droit d'une carte postale : soleil brûlant, un léger vent frais, du sable blanc, une mer bien bleue, des palmiers, et au loin, il vous semble même apercevoir trois grandes maisons de vacances. En sortant du bateau, la capitaine vous distribue à chacun.e votre lettre de bienvenue sur l'île, bien rangée dans son enveloppe nominative. Vous respirez bien l'air ambiant avant de l'ouvrir, et vous avez sans doute raison.
Bienvenue sur l'île. La couleur de ta carte t'indiquera l'équipe à laquelle tu appartiens. Rouge pour Moineau, Vert pour Maquereau, Bleu pour Blaireau. Chaque équipe a sa propre cabane, mais également une obligation : se protéger les uns les autres. Se protéger de quoi ? Des autres, surtout.
Tu te souviens de ce vilain petit secret qui est pourtant si bien caché ? Mais si, tu sais. On en a parlé. Tu te souviens des efforts que tu as dû fournir pour le cacher ? Il va falloir en faire encore plus, parce qu'ici, tout le monde a un secret, et l'équipe qui l'emportera est celle qui en aura conservé le plus ... ou découvert le plus. Toutes les semaines, une activité vous sera proposée pour trouver des indices sur le secret de quelqu'un, ou pour protéger un peu plus le vôtre. Si vous avez une idée, une supposition, vous pourrez aller dans le centre d'accueil, complètement vidé de tout personnel si ce n'est un simple micro et un simple écran. Le micro vous servira à communiquer avec moi, et l'écran me servira à compter les points. Je vois tout, j'entends tout. Que le jeu commence, parce qu'à la clef, l'équipe gagnante emportera un prix qui changera la vie de ses membres pour toujours.
Amusez-vous, mais surtout, amusez-moi,
E.
Surpris.e ? Le paysage reste le même, pourtant. Cette fois, on dirait qu'il n'y a rien à craindre. Un feu de camp vous accueille lorsque vous arrivez enfin sur la terre ferme, et si vous êtes un peu malin.e, vous jetez votre lettre de bienvenue dedans pour que personne ne puisse simplement lire votre petit secret. Devant vous, les trois cabanes des équipes ont des chambres déjà prêtes, à votre nom. A votre droite, le centre d'accueil est, comme prévenu, totalement vide si ce n'est pour un micro ou un écran. A votre gauche, des bars et des restaurants, mais aucun personnel. Personne, nulle part. Et le bateau fait demi-tour, pour ne pas revenir avant la fin du mois. Alors autant prendre l'un des cocktails de bienvenue avant que tous les glaçons ne fondent et aller se baigner, parce que les vacances commencent à ressembler à une télé-réalité.
Les équipes
Les moineaux | @levi maestriani, @dante motisi-smeraglia, @ezio galvani, @leandro calascione, @mikjàll di scipio
Les maquereaux | @vitium p. orsini, @scatach o'shea, @axel scalabrini, @daeja dis, @artemia c. smeraglia
Les blaireaux | @jake n. macnair, @drake t. scalabrini, @esperia borgia, @caliel ortiz, @cupio l. ponti
Félicitations ! Tu as gagné un voyage d'un mois sur l'île, tous frais payés. Les choses ont été arrangées avec ton employeur, tu peux donc commencer à faire tes valises, le bateau quittera le port le premier juin. Amuse-toi bien.
Comme n'importe qui, vous avez sauté sur l'occasion. C'est vrai que ces derniers mois étaient particulièrement éprouvants, et vous avez bien mérité quelques semaines de vacances. En plus, vous avez vérifié, et ce n'est pas une arnaque. Certains disent même que vous n'êtes pas les premiers, qu'il y a quelques années, une bonne vingtaine au moins, d'autres avaient gagné la même chose. Un bienfaiteur anonyme ? Impossible d'avoir des retours sur leur expérience pourtant, mais tout le monde devait bien être revenu entier, et c'est tout ce qui compte quand c'est gratuit, n'est ce pas ? En plus, vous croisez des visages familiers sur le bateau, vous buvez quelques verres, vous profitez de la vue et du soleil. Tout se passe pour le mieux. Les vacances commencent enfin.
Le voyage n'a pris que quelques heures, et déjà, vous jetez l'ancre au port de l'île. La vision devant vous sort tout droit d'une carte postale : soleil brûlant, un léger vent frais, du sable blanc, une mer bien bleue, des palmiers, et au loin, il vous semble même apercevoir trois grandes maisons de vacances. En sortant du bateau, la capitaine vous distribue à chacun.e votre lettre de bienvenue sur l'île, bien rangée dans son enveloppe nominative. Vous respirez bien l'air ambiant avant de l'ouvrir, et vous avez sans doute raison.
Bienvenue sur l'île. La couleur de ta carte t'indiquera l'équipe à laquelle tu appartiens. Rouge pour Moineau, Vert pour Maquereau, Bleu pour Blaireau. Chaque équipe a sa propre cabane, mais également une obligation : se protéger les uns les autres. Se protéger de quoi ? Des autres, surtout.
Tu te souviens de ce vilain petit secret qui est pourtant si bien caché ? Mais si, tu sais. On en a parlé. Tu te souviens des efforts que tu as dû fournir pour le cacher ? Il va falloir en faire encore plus, parce qu'ici, tout le monde a un secret, et l'équipe qui l'emportera est celle qui en aura conservé le plus ... ou découvert le plus. Toutes les semaines, une activité vous sera proposée pour trouver des indices sur le secret de quelqu'un, ou pour protéger un peu plus le vôtre. Si vous avez une idée, une supposition, vous pourrez aller dans le centre d'accueil, complètement vidé de tout personnel si ce n'est un simple micro et un simple écran. Le micro vous servira à communiquer avec moi, et l'écran me servira à compter les points. Je vois tout, j'entends tout. Que le jeu commence, parce qu'à la clef, l'équipe gagnante emportera un prix qui changera la vie de ses membres pour toujours.
Amusez-vous, mais surtout, amusez-moi,
E.
Surpris.e ? Le paysage reste le même, pourtant. Cette fois, on dirait qu'il n'y a rien à craindre. Un feu de camp vous accueille lorsque vous arrivez enfin sur la terre ferme, et si vous êtes un peu malin.e, vous jetez votre lettre de bienvenue dedans pour que personne ne puisse simplement lire votre petit secret. Devant vous, les trois cabanes des équipes ont des chambres déjà prêtes, à votre nom. A votre droite, le centre d'accueil est, comme prévenu, totalement vide si ce n'est pour un micro ou un écran. A votre gauche, des bars et des restaurants, mais aucun personnel. Personne, nulle part. Et le bateau fait demi-tour, pour ne pas revenir avant la fin du mois. Alors autant prendre l'un des cocktails de bienvenue avant que tous les glaçons ne fondent et aller se baigner, parce que les vacances commencent à ressembler à une télé-réalité.
- plan de l'île:
Esperia Borgia
(c) fadet
Ezio Galvani
Il a encore Santiago plein les yeux. L'Espagnol au bout de la langue. Il peut presque encore sentir la main de Dante dans la sienne alors qu'ils arpentaient les rues, se faisant passer pour ce jeune couple un peu trop démonstratif. Il a encore le goût de ses lèvres sur les siennes, dans ces fausses embrassades qui n'étaient peut-être pas toutes aussi fausses qu'il le prétend. C'était hier encore, le Chili sur un coup de tête. Mais aujourd'hui, c'est un nouveau coup de tête et une nouvelle destination. Il relit la lettre encore une fois et l'illusion des vacances paradisiaques s'effrite bien vite. Elpis, encore. Les revoilà de nouveau pions d'un jeu qu'ils ne maîtriseront jamais. Si le cadre est bien plus idyllique que la maison en ruine de la dernière fois, le frisson d'appréhension qui secoue tout son corps est bien le même.
Le soleil dans les yeux, il est obligé de froncer les sourcils pour tenter de voir quelque chose autour de lui. Il y a comme une forêt à côté et des magasins vides au loin. C'est ce qui le frappe, le vide. Il n'y a quasiment personne et il connaît pratiquement tout le monde. Même la maire est ici. Il offre un sourire pincé à Drake au loin, se fige un instant lorsque son regard se pose sur Mikjàll et il prie qui voudra bien l'entendre de ne pas se retrouver dans la même maison que lui. Il lit une dernière fois la lettre, comme pour être certain de ne pas rêver, observe la couleur de sa carte et se dirige vers Drake et Dante. "S'il vous plaît, dîtes-moi que vous êtes l'équipe des Moineaux."
Il se retourne, attrape un cocktail de bienvenue qu'il descend bien vite, trop vite. Il n'y a qu'un seul chemin principal, il n'y a pas vraiment de risques de se perdre ici. Il a envie de visiter l'île, d'aller voir la villa, de boire des cocktails sur la plage et de s'émerveiller de tout, mais il sent à nouveau ce poids désagréable sur ses côtes qui l'empêche de respirer confortablement. Elpis les surveille et il a peur.
(c) DΛNDELION
Jake N. Macnair
Il a essayé de se détendre. Il a essayé de se convaincre que même si ce voyage sorti de nulle part n'avait aucun sens, c'était là l'opportunité de se détendre un peu. De ne pas penser au travail pour une fois et d'essayer de trouver un sens plus grand à ses journées. Il a même souri à Drake en posant ses pieds sur l'île, a même tenté un deuxième sourire plus timide à l'attention d'Artemia, tout en restant à l'écart. Il y a cette part en lui qui ne peut s'empêcher de se torturer l'esprit, pourtant. De vouloir comprendre où ils sont, pourquoi ils y sont, pourquoi la maire doit y être, pourquoi lui s'y trouve. Qui gagnerait quoi que ce soit à les envoyer ici, tous frais payés. Pour se détendre ? Il n'y croit pas une seule seconde. Pas alors que quelqu'un sur cette planète détient la connaissance d'un secret qu'il aurait voulu garder enterré.
Il y croit encore moins lorsqu'il lit la lettre. Il ne sait pas s'il doit y croire ou non, si tout ceci n'est qu'un canular trop imaginatif, mais au fond, il sait que non. Personne ne pousserait la blague aussi loin. Personne n'est censé avoir cette information à son sujet. Personne... Sauf peut-être Elpis elle-même. C'est idiot, parce qu'il ne veut pas se résoudre à cette explication tout en étant intimement convaincu qu'elle est la bonne. Il ferme les yeux très fort pour ne plus la voir, il ne veut pas que ce soit vrai. Alors, il prend une grande inspiration, froisse un peu la lettre avant de la jeter dans le feu de camp et d'observer les flammes avec une certaine appréhension. Rien de bon ne se prépare et il a un peu envie de partir seul se perdre dans la forêt pour ne voir personne. Ne parler à personne. Ne rien savoir sur personne et que personne ne sache rien sur lui. Quelque chose lui dit qu'il va avoir besoin des autres pourtant, ce n'est pas un travail solitaire cette fois-ci. Alors, il se rapproche du seul qui l'apaise un peu, son frère. "Drake, tu es dans quelle équipe ? Je suis dans celle des Blaireaux."
(c) DΛNDELION
Dante Motisi-Smeraglia
Il avait compris en mettant un pied sur le bateau, en se retrouvant à faire un grand sourire à Artemia depuis la proue. Ce n’était pas un simple voyage calme. Ce n’était pas un heureux hasard. Tous ceux qui l’entouraient étaient ceux à qui il avait dit au revoir quelques semaines auparavant, et il regrette déjà le soleil du Chili et la douceur des cocktails alors même qu’on leur en promet de nouveaux. Alors il n’est pas vraiment surpris quand il se retrouve avec cette enveloppe dans les mains, il grimace à peine en essayant de déchiffrer les mots, échoue à moitié mais comprend en quelques mots où « Elpis » veut en venir, et roule le papier en boule dans sa main avant de le jeter dans l’océan et de le fixer jusqu’à ce qu’il coule complètement. Saleté.
La voix d’Ezio le réveille de sa colère bouillonnante, et il louche sur la carte qu’il a dans les mains pour vérifier que la couleur est bien la même que celle que lui avait. Un coup d’œil vers celle de Drake lui suffit à comprendre que tout le monde ne doit pas être ravi de la répartition. « Oui chéri. Mais notre petit gothique non, on dirait. T’inquiètes, on te protège quand même. Peut être. » Il faut le prendre légèrement. Visiblement, Ezio est bien assez stressé pour eux deux, et Dante hésite quelques secondes avant de frôler sa main du dos de la sienne. Il ne peut pas vraiment le rassurer, et ça ne lui ressemble pas vraiment, mais ce sera toujours ça, sans doute.
Son regard se perd dans les invités qui réagissent plutôt moins bien, jusqu’à enfin se poser sur celle qu’il cherchait, et il lève la main pour lui faire signe. « Temi ! T’es dans quelle équipe ? » Le surnom était peut être de trop, mais il fallait bien attirer son attention, et il sonne de plus en plus familier dans sa bouche. La couleur de la carte dans les mains de la brune, pourtant, ne correspond pas non plus. « Oh non mon amour, à peine je te retrouve et déjà on se sépare ! Ne t’en fais pas, je te protège aussi. Vous connaissez ma femme ? » Son enthousiasme feint diminue bien vite quand il remarque que Jake a rejoint le groupe, visiblement décidé à parler à son frère. Mais sa grimace disparaît bien vite alors qu’un léger silence flotte dans le groupe. Silence qu’il n’est que trop heureux de briser. « Tu rends la tâche de te ridiculiser presque trop facile, Jakie le Blaireau. » Il est idiot. C’est la seule explication. Est-ce que c’est ça qui attire Artemia ? Etrange.
La voix d’Ezio le réveille de sa colère bouillonnante, et il louche sur la carte qu’il a dans les mains pour vérifier que la couleur est bien la même que celle que lui avait. Un coup d’œil vers celle de Drake lui suffit à comprendre que tout le monde ne doit pas être ravi de la répartition. « Oui chéri. Mais notre petit gothique non, on dirait. T’inquiètes, on te protège quand même. Peut être. » Il faut le prendre légèrement. Visiblement, Ezio est bien assez stressé pour eux deux, et Dante hésite quelques secondes avant de frôler sa main du dos de la sienne. Il ne peut pas vraiment le rassurer, et ça ne lui ressemble pas vraiment, mais ce sera toujours ça, sans doute.
Son regard se perd dans les invités qui réagissent plutôt moins bien, jusqu’à enfin se poser sur celle qu’il cherchait, et il lève la main pour lui faire signe. « Temi ! T’es dans quelle équipe ? » Le surnom était peut être de trop, mais il fallait bien attirer son attention, et il sonne de plus en plus familier dans sa bouche. La couleur de la carte dans les mains de la brune, pourtant, ne correspond pas non plus. « Oh non mon amour, à peine je te retrouve et déjà on se sépare ! Ne t’en fais pas, je te protège aussi. Vous connaissez ma femme ? » Son enthousiasme feint diminue bien vite quand il remarque que Jake a rejoint le groupe, visiblement décidé à parler à son frère. Mais sa grimace disparaît bien vite alors qu’un léger silence flotte dans le groupe. Silence qu’il n’est que trop heureux de briser. « Tu rends la tâche de te ridiculiser presque trop facile, Jakie le Blaireau. » Il est idiot. C’est la seule explication. Est-ce que c’est ça qui attire Artemia ? Etrange.
(c) AMIANTE
Cupio L. Ponti
Il est beaucoup trop content pour son propre bien, Cupio. Il tient à peine en place alors que le bateau est clairement trop lent à son goût, pose des questions à chaque membre de l’équipage, et il a même été viré de la salle des machines plus d’une fois alors que le navire jette enfin l’ancre au port. C’est bien la première fois qu’il a le droit à des vacances gratuites. Si son choix ne se porte habituellement pas sur des plages et des cocotiers, il n’est pas du genre à même envisager de cracher sur de l’argent offert. Voir en plus qu’Esperia était sur le même bateau, plutôt littéralement, lui avait suffit pour se dire que c’était un signe du destin, qu’ils étaient censés aller là, que tout était clairement mis en place pour qu’ils se rapprochent encore. Peut être que d’ici le retour, ils se seront avoué leur flamme au coucher du soleil. Peut être qu’ils auront commencé leurs plans d’avenir. Mince, il aurait dû penser à emmener une bague au cas où.
Puis vient l’enveloppe, la lettre, et son enthousiasme meurt bien vite dans sa gorge. Il jette bien vite un secret à Esperia pour vérifier qu’elle n’a pas eu le temps d’y jeter un coup d’œil, mais elle est bien trop prise dans son drame personnel, alors il se contente de soupirer en repliant le papier en milles morceaux. Elpis. Si jamais sa sœur réussit à sortir un jour, il lui écrasera probablement le nez sur un rocher. En théorie en tout cas. Avec un peu de chances, elle ne sortira jamais. Heureusement, il oublie bien vite sa morosité quand la blonde lui parle. Au diable Elpis et ses manigances idiotes. Elle ne lui volera pas son histoire d’amour. « Le dernier arrivé a perdu. » Sur ces mots il part en courant jusqu’au feu qui brille au fond, et qui semble être en plein milieu des habitations. Il arrive essoufflé, et n’attend que quelques secondes avant de voir Esperia devant lui. « J’avoue j’ai triché. On va dire ça. » Il a triché. Il aurait dû attendre de finir sa phrase avant de partir.
En quelques pas, il rejoint le feu et y lance la lettre qu’il tient toujours dans sa main, regardant son secret s’envoler en fumée. « Madame. » Il se décale et tourne le dos au feu pour la laisser brûler à son tour ce qu’elle veut lui cacher. Ils ont toute la vie pour apprendre à se connaître, après tout. Alors quand elle a fini, il lui prend la main doucement et se dirige vers la villa des Blaireaux. « Au moins on est dans la même équipe. On devra pas se chasser l’un l’autre. Par là ? » Il grimace un peu en voyant l’aspect minimaliste de la décoration, mais l’ignore assez rapidement en tirant Esperia à sa suite pour aller à l’étage. « Co-mment ? On est deux par chambre ? Le budget était limité finalement. » Ce n’est pas vraiment un problème. Le vrai problème, c’est qu’Esperia n’est pas dans la sienne.
Puis vient l’enveloppe, la lettre, et son enthousiasme meurt bien vite dans sa gorge. Il jette bien vite un secret à Esperia pour vérifier qu’elle n’a pas eu le temps d’y jeter un coup d’œil, mais elle est bien trop prise dans son drame personnel, alors il se contente de soupirer en repliant le papier en milles morceaux. Elpis. Si jamais sa sœur réussit à sortir un jour, il lui écrasera probablement le nez sur un rocher. En théorie en tout cas. Avec un peu de chances, elle ne sortira jamais. Heureusement, il oublie bien vite sa morosité quand la blonde lui parle. Au diable Elpis et ses manigances idiotes. Elle ne lui volera pas son histoire d’amour. « Le dernier arrivé a perdu. » Sur ces mots il part en courant jusqu’au feu qui brille au fond, et qui semble être en plein milieu des habitations. Il arrive essoufflé, et n’attend que quelques secondes avant de voir Esperia devant lui. « J’avoue j’ai triché. On va dire ça. » Il a triché. Il aurait dû attendre de finir sa phrase avant de partir.
En quelques pas, il rejoint le feu et y lance la lettre qu’il tient toujours dans sa main, regardant son secret s’envoler en fumée. « Madame. » Il se décale et tourne le dos au feu pour la laisser brûler à son tour ce qu’elle veut lui cacher. Ils ont toute la vie pour apprendre à se connaître, après tout. Alors quand elle a fini, il lui prend la main doucement et se dirige vers la villa des Blaireaux. « Au moins on est dans la même équipe. On devra pas se chasser l’un l’autre. Par là ? » Il grimace un peu en voyant l’aspect minimaliste de la décoration, mais l’ignore assez rapidement en tirant Esperia à sa suite pour aller à l’étage. « Co-mment ? On est deux par chambre ? Le budget était limité finalement. » Ce n’est pas vraiment un problème. Le vrai problème, c’est qu’Esperia n’est pas dans la sienne.
(c) AMIANTE
Drake T. Scalabrini
La main d’Axel dans la sienne, le papier déjà à moitié froissé entre ces doigts, tu regardes le feu de camp au centre avec cette envie brulante de donner un coup de pied dans celui-ci, juste pour ressentir la douleur vive que cela donnerait. Juste pour détruire quelque chose. Car agir sur un coup de tête, impulsivement, a toujours été bien plus aisé pour toi que de prendre du recul. Mais la main d’Axel, ferme, forte, celui qui te connait bien trop, te retient de faire tout geste que tu pourrais regretter. Depuis enfant, s’il y a bien un mot dont tu as souvent entendu dans les légendes raconté par ton ainé, c’était bien qu’Elpis avait des yeux, des oreilles, des mains partout. Elpis était, et serait toujours omniprésente, et tu avais eu bien des occasions de le constater, avant. Tes doigts aggrippent un peu plus sa main, alors que tu sens déjà ta respiration ce faire plus difficile. Cette île a tout pour plaire, pourtant. Elle est magnifique, et la chaleur ce fait bien sentir. Mais cette lettre n’a rien d’amusement. N’a rien d’un voyage rêvé. Des secrets, tu en as, comme tout le monde, et certains dont tu prierais fort pour ne pas être révélé.
Quand Dante et Ezio arrive à ta hauteur, tu viens doucement tirer Axel avec toi pour les rejoindre en quelques pas rapides. Un rapide regard sur leurs différentes lettres fait un peu plus serrer ton cœur dans ta poitrine. Tu n’es ni avec Ezio et Dante, ni avec Axel. Tu n’es pas avec eux. Et tu n’as aucune envie de te retrouver seul. Aucune envie d’être encore une fois confronté à cette solitude : Si tu vas mieux depuis quelques temps, tu ne t’es pas retrouvé sans au moins l‘un des tiens à tes côtés depuis un bon moment. Tu étais souvent avec eux, tu étais souvent avec le groupe, avec Axel, avec Ezio… Mais là, tu te retrouves séparés d’eux. Mais tu n’as pas envie de montrer combien tout ça t’affecte. Tu ne veux pas démoraliser encore plus Ezio… « Ne t’en fais pas, Ezio! Tu es avec Dante, et je sais que je peux compter sur lui pour veiller sur toi! Puis je viendrais souvent te voir, maison ou non, ça ne m’empêchera pas de venir te voir. » souffles-tu en souriant, tout en jetant un regard vers Dante, amusé, mais à la fois inquiet. Silencieusement, tu espères qu’il comprenne le message. Qu’il protègera Ezio. Tu veux lui faire confiance. « T’inquiète, je te protègerais aussi. Peut-être. » dis-tu en réutilisant ces même mots. Malgré ton ton un peu amusé, tu es inquiet, et c’est visible, surtout pour ceux qui le connaisse bien. En aucun cas tu ne trahirais le secret de tes amis, aucun. Mais rapidement, ton regard se tourne vers Jake, ta lueur d’espoir, quand celui-ci fonce vers toi. « Jay…! Oui, oui, je suis dans la même équipe que toi…! » Un certain point quitte un peu tes épaules. Au moins, ton frère est là. Ton frère est là pour toi. Tu viens serrer un peu sa main dans la tienne, comme pour lui envoyer ta force, car tu as toujours été meilleur pour rassurer les autres que toi-même. Tu espères que tout ira bien. Pour tous.
Quand Dante et Ezio arrive à ta hauteur, tu viens doucement tirer Axel avec toi pour les rejoindre en quelques pas rapides. Un rapide regard sur leurs différentes lettres fait un peu plus serrer ton cœur dans ta poitrine. Tu n’es ni avec Ezio et Dante, ni avec Axel. Tu n’es pas avec eux. Et tu n’as aucune envie de te retrouver seul. Aucune envie d’être encore une fois confronté à cette solitude : Si tu vas mieux depuis quelques temps, tu ne t’es pas retrouvé sans au moins l‘un des tiens à tes côtés depuis un bon moment. Tu étais souvent avec eux, tu étais souvent avec le groupe, avec Axel, avec Ezio… Mais là, tu te retrouves séparés d’eux. Mais tu n’as pas envie de montrer combien tout ça t’affecte. Tu ne veux pas démoraliser encore plus Ezio… « Ne t’en fais pas, Ezio! Tu es avec Dante, et je sais que je peux compter sur lui pour veiller sur toi! Puis je viendrais souvent te voir, maison ou non, ça ne m’empêchera pas de venir te voir. » souffles-tu en souriant, tout en jetant un regard vers Dante, amusé, mais à la fois inquiet. Silencieusement, tu espères qu’il comprenne le message. Qu’il protègera Ezio. Tu veux lui faire confiance. « T’inquiète, je te protègerais aussi. Peut-être. » dis-tu en réutilisant ces même mots. Malgré ton ton un peu amusé, tu es inquiet, et c’est visible, surtout pour ceux qui le connaisse bien. En aucun cas tu ne trahirais le secret de tes amis, aucun. Mais rapidement, ton regard se tourne vers Jake, ta lueur d’espoir, quand celui-ci fonce vers toi. « Jay…! Oui, oui, je suis dans la même équipe que toi…! » Un certain point quitte un peu tes épaules. Au moins, ton frère est là. Ton frère est là pour toi. Tu viens serrer un peu sa main dans la tienne, comme pour lui envoyer ta force, car tu as toujours été meilleur pour rassurer les autres que toi-même. Tu espères que tout ira bien. Pour tous.
(c) AMIANTE
Mikjàll Di Scipio
Un sac sur un de tes épaules, ton regard est baissé sur le papier que tu tiens dans tes mains, sur ce papier qui t’intrigue, autant qu’il t’étouffe. Ce papier qui contient chaque raison de pourquoi tu ne voulais pas être ici, en ce moment. Une raison qui s’ajoute au fait que tu n‘aurais jamais dû accepté. Toi, qui peine à te levé de ton lit le matin, toi, qui a de la difficulté à te comprendre, toi, qui est venu ici, sur une île remplit de gens, dont ceux que tu tentes d’éviter depuis des mois, par curiosité, tu le regrettes déjà. Tu regrettes d’être venu, alors que tu tentes encore de te trouver une raison de te lever chaque matin. Tu regrettes, alors que déjà, tu as de la difficulté à simplement te regarder dans le miroir. Au fond de toi, tu savais depuis le début que tu n’aurais jamais dû te laisser tenter par ta pire ennemie, la curiosité. Elle n’avait jamais été très bonne pour toi, ne t’avait jamais apporté grande réussite, si ce n’était que de t’avoir rapprocher d’Aodhan, ce que tu avouais, était ton plus grand plaisir. Aodhan. Ce simple prénom te brule l’estomac, encore une fois. D’un regard, tu vois le nom de ton équipe, la couleur qui va avec, mais tu as simplement envie de te laisser perdre dans cette forêt, qui te semble bien immense à tes yeux. Ton regard percute celui d’Ezio et de Dante, et une envie de juste reculer, de partir, te prend de plus en plus. Tu es bien trop épuisé pour tout ça. Tu étais pourtant si bien, avec ton café rencontre, loin de tous ces problèmes.
Glissant ton papier déchiré et chiffonné dans ta poche, tu serres ton sac contre toi, et tes pas sont déjà prêt à te diriger sur les chemins pour te mener aux maisons, quand ton regard voit enfin une présence rassurante. Leandro. Un client de ton café rencontre, mais surtout, depuis quelques temps, un ami. Surpris de le voir ici, tu fais rapidement le compte : Tout le monde semble avoir été invité. Bien-sûr que Leandro allait y passer aussi. Tes pas se pressent donc pour le rejoindre. Tu arrives à sa hauteur, attrapant un peu son épaule pour le faire ce tourner vers toi. « Leandro… » Ta voix est douce, mais surtout épuisé. Tu viens poser ton regard dans le sien, soupirant lentement, ta main se serrant de plus en plus sur ton sac. « Dit moi… Dit moi que tu es avec moi? Tu es avec la team moineau? » demandes-tu lentement, hésitant.
Glissant ton papier déchiré et chiffonné dans ta poche, tu serres ton sac contre toi, et tes pas sont déjà prêt à te diriger sur les chemins pour te mener aux maisons, quand ton regard voit enfin une présence rassurante. Leandro. Un client de ton café rencontre, mais surtout, depuis quelques temps, un ami. Surpris de le voir ici, tu fais rapidement le compte : Tout le monde semble avoir été invité. Bien-sûr que Leandro allait y passer aussi. Tes pas se pressent donc pour le rejoindre. Tu arrives à sa hauteur, attrapant un peu son épaule pour le faire ce tourner vers toi. « Leandro… » Ta voix est douce, mais surtout épuisé. Tu viens poser ton regard dans le sien, soupirant lentement, ta main se serrant de plus en plus sur ton sac. « Dit moi… Dit moi que tu es avec moi? Tu es avec la team moineau? » demandes-tu lentement, hésitant.
(c) AMIANTE
Leandro Calascione
Ainsi il se trouvait sur le bateau, les cheveux au vent, le sac sur les épaules. Il tenait fermement ce papier de couleur entre ses doigts regardant les flots devant lui. Il regardait dans l’eau se demandant s’il pouvait y voir quelque chose, mais en vint. Mais ça lui faisait bizarre une fois le bateau accosté, il regardait autour de lui et remarqua au loin Drake. Il alla rapidement le voir pour savoir s’il était dans la même équipe, celle des moineaux. Malheureusement, ce ne fut pas le cas et la même chose pour Axel. L’ancien sans-abri regardait autour de lui de plus en plus perdu. Allait il se retrouve avec des étrangers ? Pas que faire de nouvelle rencontre le dérangeait, loin de là, mais au moins être avec quelqu’un qu’on connaissait ça avait quelque chose de rassurant.
Il ne voulait pas plus déranger Drake alors il partit en quête de nouvelles aventures — nope juste en quête de coéquipier à vrai dire —. Il marcha tranquillement vers les maisons. Flocon lui manquait déjà. Il n’avait jamais vraiment été séparé de lui alors ça lui faisait tout bizarre. Il s’était arrêté de marcher pour regarder de nouveau son fichu papier rouge. Il se sentait de plus en plus perdu. Est-ce que c’était vraiment une bonne idée d’être ici ? Il n’en savait trop rien. Il secoua la tête et soupira avant de se retourner en sentant une main sur son épaule.
« Oh ! Mikjàll! », dit-il en le voyant soutenant son regard.
Il nota mentalement que pour Mikjàll ça n’avait vraiment pas l’air d’aller… le pauvre. Quand il lui demanda s’il était avec lui chez les moineaux. Le guitariste sourit doucement et hocha de la tête.
« T’en fais pas je suis avec toi ! Tu sais où sont les autres? Comme il y a que trois maisons, j’imagine qu’on est pas que deux dans l’équipe »
Il pencha la tête sur le côté et posa sa main sur son bras pour attirer son attention.
« Eh ! … Tu ne m’as jamais laissé tomber quand j’étais à la rue, je ne te laisserais pas tomber non plus ! », dit-il comme cherchant à rassurer son ami qui semblait ne pas aller bien.
Interactions indirect: @drake t. scalabrini & @axel scalabrini
Interactions direct: @mikjàll di scipio
Esperia Borgia
(c) fadet
Caliel Ortiz
Event : Arrivée sur l'île
Interactions : @Ezio Galvani & @Jake N. Macnair & @Drake T. Scalabrini & @Dante Motisi-Smeraglia & @Axel Scalabrini
En allant chercher son courrier comme presque tous les jours, quelle ne fut pas la surprise de Caliel en trouvant une lettre aussi mystérieuse que louche l’invitant à partir en vacances, aux frais de la princesse. Un mois de détente sur une île paradisiaque… Qui s’en serait méfié ? Toute personne avec un minimum logique. De nos jours, même les enfants savent qu’il est dangereux de monter dans la camionnette d'inconnus qui propose des bonbons. Alors sur un bateau… Sans compter que la température moyenne estivale à Palerme avoisinait les trente degrés Celsius et qu’en vivant sur une île, la plage était déjà à portée de main. Pourquoi aurait-il eu envie de quitter son appartement confortable avec climatiseur, ordinateur, réfrigérateur plein de glace et la sacro-sainte connexion internet ? En temps normal : pour peu de raisons. Mais là, il avait vraiment besoin de se changer les esprits. Il le savait. Une partie de lui était même convaincue que cette invitation venait d’un membre de sa famille, ou que l’un d’eux avait magouillé d’une façon ou d’une autre pour qu’il soit choisi.
C’est pourquoi en ouvrant la lettre remise par la capitaine, comme à chacun des autres invités, Caliel est assez surpris. Une grande désillusion, comme peut-être beaucoup d'autres. Lui qui avait pourtant fait des recherches et qui s’était persuadé qu’il s’agissait là d’une invitation plus innocente qu’au premier abord. Comme quoi, il faut toujours écouter son instinct. Mais visiblement, il était déjà trop tard. Comme pour tout le monde, il devrait faire avec que ça lui plaise ou non. Il n’avait aucune envie de s’amuser à découvrir les petits secrets de tout le monde. Il n’aimait pas qu’on fouille dans son passé, alors le faire a quelqu’un d’autre… Pourtant il n’aurait pas d’autre choix, ce mois-ci.
Ce faisant à cette idée, Caliel attend son tour pour récupérer sa valise en pliant la lettre façon origami. Comme depuis l’embarquement, il reste très silencieux et discret. Il n’était toujours pas du genre à aller facilement vers les inconnus de lui-même. Mais, en s’avançant vers le feu pour y jeter la grenouille en papier, il comprend qu’il ne va pas avoir le choix. Par chance, le mot 'blaireau' vient à ses oreilles à ce moment-là. Se tournant pour regarder autour de lui, il aperçoit un groupe d’amis qui discutent de leurs équipes. Peut-être aurait-il une chance de trouver ses coéquipiers. En plus, l’un des visages ne lui est pas inconnu, celui de Drake. D’un pas qui se veut assuré, il approche d’eux de dire, un peu maladroitement « Bonjour ! J’ai cru entendre que vous parliez des équipes. L’un de vous serait aussi dans celle des blaireaux ? » Il n’est pas très confiant, ni très à l’aise, mais essaye de faire comme si de rien n’était. Quitte à être dans la moise, autant faire de son mieux.
C’est pourquoi en ouvrant la lettre remise par la capitaine, comme à chacun des autres invités, Caliel est assez surpris. Une grande désillusion, comme peut-être beaucoup d'autres. Lui qui avait pourtant fait des recherches et qui s’était persuadé qu’il s’agissait là d’une invitation plus innocente qu’au premier abord. Comme quoi, il faut toujours écouter son instinct. Mais visiblement, il était déjà trop tard. Comme pour tout le monde, il devrait faire avec que ça lui plaise ou non. Il n’avait aucune envie de s’amuser à découvrir les petits secrets de tout le monde. Il n’aimait pas qu’on fouille dans son passé, alors le faire a quelqu’un d’autre… Pourtant il n’aurait pas d’autre choix, ce mois-ci.
Ce faisant à cette idée, Caliel attend son tour pour récupérer sa valise en pliant la lettre façon origami. Comme depuis l’embarquement, il reste très silencieux et discret. Il n’était toujours pas du genre à aller facilement vers les inconnus de lui-même. Mais, en s’avançant vers le feu pour y jeter la grenouille en papier, il comprend qu’il ne va pas avoir le choix. Par chance, le mot 'blaireau' vient à ses oreilles à ce moment-là. Se tournant pour regarder autour de lui, il aperçoit un groupe d’amis qui discutent de leurs équipes. Peut-être aurait-il une chance de trouver ses coéquipiers. En plus, l’un des visages ne lui est pas inconnu, celui de Drake. D’un pas qui se veut assuré, il approche d’eux de dire, un peu maladroitement « Bonjour ! J’ai cru entendre que vous parliez des équipes. L’un de vous serait aussi dans celle des blaireaux ? » Il n’est pas très confiant, ni très à l’aise, mais essaye de faire comme si de rien n’était. Quitte à être dans la moise, autant faire de son mieux.
Daeja Dis
Event « Maquereaux. Ironique pour une pute. Bien mal choisi pour toi, par contre. » Elle agite vaguement son carton d’invitation sous le nez de son amie, ignorant les autres et leurs échanges. Tout ce qu’elle veut, c’est partir, et surtout, essayer de comprendre ce qu’il se passe. Ce qu’elle veut, aussi, c’est protéger son secret, et celui d’Artemia par la même occasion. Les autres, qu’ils se démerdent. Ce n’est pas ton problème. « Je ne sais pas pour toi, mais moi j’ai besoin d’un cocktail Temi. Loin d’ici. » | ( Pando ) |
Vitium P. Orsini
Tu finis par la suivre un peu à contre coeur, lorgnant d’un oeil curieux la lettre que tu n’as même pas lu. Tout ce que tes yeux ont eu le temps d’aggriper dessus, c’était le nom de ton équipe, mais lorsque ton attention s’était porté sur les mots “secret” et “Cupio” dans la même phrase, tu as été incapable de continuer ta lecture. Tu savais déjà de quoi il s’agissait. Et tu n’avais pas vraiment envie d’y repenser. Ton attention se porte d'abord sur Dante, à qui tu te contentes d'envoyer un haussement d'épaule un peu mou, comme une vague excuse, puis sur le premier homme à tes côtés, un petit brun que tu n’as jusqu’à présent jamais rencontré et qui semble curieux de trouver d’autres blaireaux sur cette île paradisiaque.
« Hm, nan, maquereaux personnellement. Dommage, j’aurais bien aimé être un blaireau. C’est drôle ces petites cartes quand même. Alors, qu’est-ce que vous avez à cacher vous tous ? » Quoi ? C’est qu’il est curieux, Vitium, vous savez ?
Dante Motisi-Smeraglia
Drake n’a pas l’air en forme, alors Dante lui fait un petit sourire et acquiesce simplement à sa demande. Il ne s’inquiète pas vraiment, pourtant. Il est sans doute dans le mal parce qu’il n’est pas dans la même équipe que son petit-ami, mais Dante n’a jamais vraiment compris comment il pouvait être devenu si dépendant de lui. Il est sans doute mal placé pour parler, alors que l’un des seuls éléments positifs de ce voyage est qu’il a la même couleur qu’Ezio, mais il n’a jamais été du genre à savoir quand il était hypocrite. « Je compte sur toi. » Probablement pas, pour le coup. Si Drake devait protéger un secret, ce serait sans aucun doute celui d’Axel. Mais c’est de bonne guerre, après tout. C’est le jeu. Quelque part, ils doivent tous avoir conscience qu’il y a peu de chances pour qu’ils puissent sortir de là avec leur secret intact, peu importe la manière dont ils jouent. Pourtant il est déjà bien décidé à protéger le sien, et si la seule manière de le faire est de faire tomber les autres à sa place, alors il n’hésitera pas une seconde. Au moins, personne ne sera surpris de le voir jouer le méchant de l’histoire.
Son regard croise le regard de Mikjall, et il lui envoie aussitôt son sourire le plus doucereux, qui grandit un peu plus en voyant la couleur de la carte qui est dans ses mains. Un coup de coude à Ezio serait sans doute bienvenu, mais il n’est pas sûr qu’Ezio soit au courant de sa dernière rencontre avec Mik, et il n’est pas persuadé qu’il accepterait. Pourtant, c’était bien pour lui. La suite sera uniquement pour lui-même, par contre, s’il doit y en avoir une. Mikjall a l’air au bord de la crise de larmes alors qu’il vient juste de poser un pied sur la terre ferme, et ce simple fait termine de rendre Dante heureux de la situation. Oui, ils vont bien s’amuser.
Il fait une petite moue alors qu’Artemia lui annonce la nouvelle. Ca ne change rien. C’est son secret qu’il protègera en priorité, de toute façon. Personne ne mérite cela plus qu’elle. Et s’il la protège, personne n’osera la toucher, n’est ce pas ? « T’es toute seule ou … » Au moment où les mots presque inquiets sortent de ses lèvres, Daeja entre dans son champs de vision et lui vole sa femme, et sa moue s’agrandit un peu, plus pour la forme qu’autre chose. Au moins elle n’est pas toute seule. Au moins elle a une alliée et une amie avec elle. Même si à choisir, il aurait préféré qu’elle soit avec quelqu’un qui ne le déteste pas, mais il a au moins conscience que c’est chose rare.
Son attention est bien vite happée par Jake le blaireau, suivi par un nouvel arrivant, et il ne peut pas s’empêcher de rire un peu face au visage de l’adjoint au maire. Lui non plus n’est pas avec Artemia. Ca da-ille. « Oui, Jakie ici ! Mais bon si tu veux rencontrer quelqu’un de sympa et avec qui tu peux t’amuser il vaut mieux parler avec Drake plutôt, il est dans la même équipe mais il a pas de balais dans les fesses. » Peut être qu’un jour ça ne l’amusera plus tant que ça de se moquer de Jake. Peut être. Pas aujourd’hui, en tout cas.
Et cerise sur le gâteau, voilà Vitium qui débarque, et Dante hausse les épaules en retour à son signe, sans bien comprendre ce qu’il est censé vouloir dire, avant de s’étouffer un peu dans sa cigarette face à sa question. « Un corps ou deux sans doute. Sans doute moins que toi. Bien essayé. » Il est un peu idiot, Vitium. C’est peut être pour ça qu’il l’aime bien. En attendant, Dante réprime un bâillement et s’étire un peu avant de se tourner vers les maisons et de grimacer en comprenant laquelle est la leur. Un manoir. On dirait une mauvaise blague. « Bon, on va poser nos sacs au moins ? J’ai entendu le mot cocktail et j’en veux un maintenant. Ezio et moi on doit choisir notre chambre. Qui nous aime nous suive, et pour les autres, vous ratez un truc. » Sa main vient frôler celle d’Ezio, mais il se reprend avant de l’attraper, et avance sans regarder en arrière vers les maisons. Se débarrasser du sac et boire un coup. C’est un très bon début de jeu.
Son regard croise le regard de Mikjall, et il lui envoie aussitôt son sourire le plus doucereux, qui grandit un peu plus en voyant la couleur de la carte qui est dans ses mains. Un coup de coude à Ezio serait sans doute bienvenu, mais il n’est pas sûr qu’Ezio soit au courant de sa dernière rencontre avec Mik, et il n’est pas persuadé qu’il accepterait. Pourtant, c’était bien pour lui. La suite sera uniquement pour lui-même, par contre, s’il doit y en avoir une. Mikjall a l’air au bord de la crise de larmes alors qu’il vient juste de poser un pied sur la terre ferme, et ce simple fait termine de rendre Dante heureux de la situation. Oui, ils vont bien s’amuser.
Il fait une petite moue alors qu’Artemia lui annonce la nouvelle. Ca ne change rien. C’est son secret qu’il protègera en priorité, de toute façon. Personne ne mérite cela plus qu’elle. Et s’il la protège, personne n’osera la toucher, n’est ce pas ? « T’es toute seule ou … » Au moment où les mots presque inquiets sortent de ses lèvres, Daeja entre dans son champs de vision et lui vole sa femme, et sa moue s’agrandit un peu, plus pour la forme qu’autre chose. Au moins elle n’est pas toute seule. Au moins elle a une alliée et une amie avec elle. Même si à choisir, il aurait préféré qu’elle soit avec quelqu’un qui ne le déteste pas, mais il a au moins conscience que c’est chose rare.
Son attention est bien vite happée par Jake le blaireau, suivi par un nouvel arrivant, et il ne peut pas s’empêcher de rire un peu face au visage de l’adjoint au maire. Lui non plus n’est pas avec Artemia. Ca da-ille. « Oui, Jakie ici ! Mais bon si tu veux rencontrer quelqu’un de sympa et avec qui tu peux t’amuser il vaut mieux parler avec Drake plutôt, il est dans la même équipe mais il a pas de balais dans les fesses. » Peut être qu’un jour ça ne l’amusera plus tant que ça de se moquer de Jake. Peut être. Pas aujourd’hui, en tout cas.
Et cerise sur le gâteau, voilà Vitium qui débarque, et Dante hausse les épaules en retour à son signe, sans bien comprendre ce qu’il est censé vouloir dire, avant de s’étouffer un peu dans sa cigarette face à sa question. « Un corps ou deux sans doute. Sans doute moins que toi. Bien essayé. » Il est un peu idiot, Vitium. C’est peut être pour ça qu’il l’aime bien. En attendant, Dante réprime un bâillement et s’étire un peu avant de se tourner vers les maisons et de grimacer en comprenant laquelle est la leur. Un manoir. On dirait une mauvaise blague. « Bon, on va poser nos sacs au moins ? J’ai entendu le mot cocktail et j’en veux un maintenant. Ezio et moi on doit choisir notre chambre. Qui nous aime nous suive, et pour les autres, vous ratez un truc. » Sa main vient frôler celle d’Ezio, mais il se reprend avant de l’attraper, et avance sans regarder en arrière vers les maisons. Se débarrasser du sac et boire un coup. C’est un très bon début de jeu.
(c) AMIANTE
Cupio L. Ponti
Ils n’ont même pas réalisé qu’ils étaient les seuls à être partis devant. Qu’ils avaient foncé vers les maisons sans même regarder s’ils connaissaient des gens sur le bateau. Il est presque sûr d’avoir vu Vitium, pourtant. Il se faisait engueuler par quelqu’un, ce qui, en soit, n’est absolument pas une surprise. Il faudrait qu’il lui présente Esperia, même s’il en a déjà bien entendu parler en long en large et en travers. Il faudra qu’il présente Vitium à Esperia, surtout. Il n’est pas certain de lui avoir déjà parlé de lui. Il n’est pas certain de lui avoir déjà dit quoique ce soit plus que son prénom, en fait. Toutes leurs discussions avaient été trop profondes pour être personnelles ou trop superficielles pour apprendre à se connaître. Toutes leurs discussions menaient toujours au même endroit.
C’est d’ailleurs dans cet endroit qu’Esperia se dirige, et s’il ne peut pas s’empêcher d’être déçu de voir un autre nom que le sien sur la porte, il ne se fait pourtant pas prier pour la fermer derrière eux en entrant. Pas à clef, pourtant. Il aurait dû y penser, sans aucun doute, puisqu’il a bien conscience que d’autres personnes vont bien vite arriver, incluant le futur habitant de cette chambre, mais il a bien trop l’habitude de laisser les portes ouvertes pour tout et n’importe quoi dans sa colocation, et il est de toute façon absolument incapable de réfléchir aux choses environnante lorsqu’il a ses intentions portées sur quelque chose de précis. Dans cette situation, Esperia qui fait mine de s’éventer.
Il rit un peu, mais bien vite, il la rejoint, et ses lèvres trouvent les siennes. Ils auront tout le temps de discuter de choses personnelles pendant ces vacances. Ils auront tout le temps d’apprendre à se connaître plus tard. Ils ont la vie devant eux. La vie qui existe dans la flamme de la passion, en tout cas. Ils n’imaginent même pas qu’elle puisse s’amenuiser, qu’elle puisse s’éteindre un jour. Ils sont bien trop occupés à s’embrasser et à s’aimer pour même se souvenir du jeu malsain qui se met en place à l’extérieur de ces murs, et ce que cela veut dire pour leur avenir commun, s’il existe.
C’est d’ailleurs dans cet endroit qu’Esperia se dirige, et s’il ne peut pas s’empêcher d’être déçu de voir un autre nom que le sien sur la porte, il ne se fait pourtant pas prier pour la fermer derrière eux en entrant. Pas à clef, pourtant. Il aurait dû y penser, sans aucun doute, puisqu’il a bien conscience que d’autres personnes vont bien vite arriver, incluant le futur habitant de cette chambre, mais il a bien trop l’habitude de laisser les portes ouvertes pour tout et n’importe quoi dans sa colocation, et il est de toute façon absolument incapable de réfléchir aux choses environnante lorsqu’il a ses intentions portées sur quelque chose de précis. Dans cette situation, Esperia qui fait mine de s’éventer.
Il rit un peu, mais bien vite, il la rejoint, et ses lèvres trouvent les siennes. Ils auront tout le temps de discuter de choses personnelles pendant ces vacances. Ils auront tout le temps d’apprendre à se connaître plus tard. Ils ont la vie devant eux. La vie qui existe dans la flamme de la passion, en tout cas. Ils n’imaginent même pas qu’elle puisse s’amenuiser, qu’elle puisse s’éteindre un jour. Ils sont bien trop occupés à s’embrasser et à s’aimer pour même se souvenir du jeu malsain qui se met en place à l’extérieur de ces murs, et ce que cela veut dire pour leur avenir commun, s’il existe.
(c) AMIANTE
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